La conte des colombes foncees

Rebonjour ! Ça fait environ quatre mois que j’écris quelque nouveau. Mais, j’était occupé avec beaucoup de choses à faire et j’ai pas l’inspiration à écrire quelque chose intéressant. En plus, cette fois, j’ai trouvé écrire quelque truc très difficile (vous connaîtrez bientôt !) L’été pour moi, c’était époustouflant. Je suis allé en France pour la première fois et j’étais complètement surpris que je parle français sans difficulté. J’ai souvent fait des conversations banales à l’arrêt du bus ou des restos ou des gares et beaucoup de gens m’ont apprécié. Ça me fait très encourageant et motivant. Quand j’aurais dit que je viens des États-Unis, on m’a souvent demandé si j’ai grandi en France car mon français était génial. Mais moi, vous connaissez si vous coupez ma main, à place de sang, vous allez voir le merlot qui vient de Bordeaux 😛 Aujourd’hui j’apporte un poème qui je n’ai pas écrit. Le poème était originalement en espagnol par M. Federico García Lorca au nom de « Casida de las palomas oscuras ». C’était un très beau poème avec beaucoup de sens caché surtout sa sexualité. Pour moi, il représente l’idée du secret et comment on cache notre identité à s’intégrer dans un groupe ou car on ne semble pas comme faible ou sensible. Puisque le poème est écrit en espagnol, j’ai dû comprendre sa traduction, son sens et essaie à traduire en français mais pas perdre sa signification. Donc, pour les mecs qui comprennent tous les deux ou seulement espagnol, voici le poème original : Casidade las palomas oscuras Por las ramas del laurel vi dos palomas oscuras. La una era el sol, la otra la luna. «Vecinita», les dije, «¿dónde está mi sepultura?» «En mi cola», dijo el sol. «En mi garganta», dijo la luna. Y yo que estaba caminando con la tierra por la cintura vi dos águilas de nieve y una muchacha desnuda. La una era la otra y la muchacha era ninguna. «Aguilitas», les dije, «¿dónde está mi sepultura?» «En mi cola», dijo el sol. «En mi garganta», dijo la luna. Por las ramas del laurel vi dos palomas desnudas. La una era la otra y las dos eran ninguna.

Les Amoureux

Bonjour encore ! Ça fait longtemps que je viens ici mais vous me connaissiez : j’ai souvent l’air d’humeur changeante ou, comment est qu’on dit, peut-être lunatique ? Comme je m’ennuie et j’essaye de trouver quelques bons passe-temps, j’ai commencé à lire et, bien-sûr, à écrire de nouveau des poèmes. L’anglais, c’est une langue pour les insipides et j’ai trouvé la poésie de langues romans sont très belle- de quoi m’inspirer ! Ce n’est pas facile mais on trouve de faire quelque chose qui représente un défi, n’est-ce pas ? Et ce n’est pas mon premier poème en français (je vous dirai plus tard). J’espère que vous le trouvez satirique, comme je l’ai fait. Le rythme est inspiré par un poème du M. Georges Brassens, au nom de *Les Copains d’abord *. Il a pu l’air de sophistication mais si vous ne comprenez pas, ne vous inquiétez pas ! Les Amoureux de l’année